La Conférence des évêques catholiques du Canada est à la recherche d’un chef pour son Service de communications. Ce poste était occupé jusqu’ici par Lisa Gall.
Le ou la titulaire de ce poste agit comme «premier contact entre les médias, les membres de la Conférence et les porte-parole identifiés». Ce poste exige une «familiarité avec les médias catholiques et les autres sources de médias religieux» ainsi qu’une «expérience des relations avec les médias».
On indique qu’il s’agit d’un poste permanent à temps plein et qu’il commande un salaire entre 78 400 $ et 93 115 $. «Chaque employé dispose d’un bureau personnel et des mesures de désinfection appropriées sont en place dans l’édifice», ajoute-t-on.
Les personnes intéressées ont jusqu’au 19 novembre 2021 pour soumettre leur candidature. «En vertu du paragraphe 24(1) du Code des droits de la personne de l’Ontario, la CECC a le droit de préférer, en matière d’emploi, des candidates et candidats catholiques romains», a-t-on ajouté au bas de l’offre d’emploi.
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Philippe Vaillancourt 10 novembre 2021
Ce poste a perdu de son lustre : on a jeté l’ancienne appellation de « directeur » pour la remplacer par un vague « chef ». Ces dernières années, les demandes d’information étaient souvent traitées très lentement car la latitude nécessaire n’était plus là, le véritable contrôle des communications de la CECC étant de plus en plus été exercé par le secrétaire général. Parfois, les courriels et appels téléphoniques des journalistes étaient tout simplement ignorés, surtout lorsque l’enjeu était délicat. Des adresses électroniques de journalistes étaient retirées des listes d’envois. Représailles ? Incurie ? Dur à dire. Au moins, il était encore possible de se faire répondre en français – on ne peut pas en dire autant présentement avec la solution temporaire mise en place en attendant l’arrivée du prochain « chef »…