«Une blessure ne se cicatrise pas en une seule journée», écrit le professeur Gilles Routhier dans le numéro de mai de La Revue Sainte Anne.
«Il faut du temps pour recommencer à voir les fleurs, à entendre le rire des enfants et le chant des oiseaux lorsque ça fait tellement mal que toute notre attention est fixée sur sa propre blessure. Il faut du temps pour que notre regard se tourne à nouveau vers les autres. Il faut du temps pour arriver seulement imaginer que sa vie puisse être autre chose que ce dont nous avions rêvé pour le lendemain.»
Son article est intitulé Surmonter les épreuves.