«À moins d’être loin en forêt, chercher un endroit calme et silencieux est bien difficile», reconnaît Annette Huot dans le numéro d’été du Messager de Saint-Antoine.
«Nous pourrions penser que dans une église il est possible de le trouver… Eh bien non! Il y a toujours quelqu’un qui a oublié d’éteindre son cellulaire, perturbant ainsi la quiétude et le recueillement.»
«Une dépendance à ces appareils s’installe et se généralise dans la population», déplore-t-elle dans un article intitulé La prison virtuelle.