«Beaucoup de personnes autour de nous croient sincèrement que la religion est à la source de plusieurs formes de violence. Dès qu’une nouvelle circule à propos d’un acte terroriste, par exemple, on a tôt fait d’identifier la religion de la personne ou du groupe responsable avec le présupposé qu’il y a cause à effet», écrit le chroniqueur Jocelyn Girard dans le numéro d’été du Messager de Saint-Antoine. «Le soupçon antireligieux n’est jamais loin lorsqu’il s’agit de dénoncer des actes associés à la barbarie.»