«J’ai une bonne nouvelle pour vous! Je ne suis pas encore mort», écrit Paul Bouchard dans le plus récent numéro du Nic. «Je le dis en blague, particulièrement à ceux qui m’ont envoyé des souhaits de bonne retraite à la suite de mon article du 12 septembre: « Un testament spirituel ». Ils ont cru qu’en cédant l’administration de notre projet à ma fille Sophie, je me retirais complètement de la rédaction. Je les remercie de tout cœur pour leur gentillesse mais il n’en est rien. J’ai encore des choses à dire et à redire.»
Aussi dans ce numéro, Sophie Bouchard donne un compte rendu de son récent séjour à Rome où elle a participé à une formation à l’Université pontificale de la Sainte-Croix. «Ce cours était destiné aux journalistes qui ont comme tâche de couvrir les événements de l’Église catholique. Sept jours passés en compagnie de 26 autres journalistes en provenance de Singapour, de l’Inde, de l’Afrique du Sud, de l’Australie, de Grande-Bretagne, de la Roumanie, des États-Unis et.. « une souris verte », ou plutôt bleue en provenance du Québec, la seule de langue française… à votre service.»