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«L’année 2020 sonnera vraisemblablement le glas de la mondialisation heureuse, caractéristique de notre début de siècle. La planète ne sera plus jamais ce beau grand village», écrit Antoine Malenfant dans le plus récent numéro du Verbe.
«D’ailleurs, nous assistons depuis quelques semaines à la réapparition des frontières dans la vie politique et à une démonstration phénoménale de l’efficacité de l’appareil étatique en situation de crise.»
«Le bien commun, que l’on croyait relégué aux oubliettes, devient soudainement une réalité assez tangible», observe le rédacteur en chef.
Commentaires
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René Tessier 5 juin 2020
Très bonne observation d’Antoine.
Il me paraît pertinent, mais aussi nécessaire, que nos revues abordent des questions comme celle-ci.
Autrement, nous encourageons chez nos baptisés une fuite du réel par l’immersion dans un religieux déconnecté de la vie.
René Tessier
Mario M.B. Bard 28 mai 2020
Lumen Gentium, document du Concile Vatican II, en parle au numéro 12. Merci de revenir sur ce sujet qui, me semble-t-il, a bien souffert ces dernières années. Mais, y reviendra-t-on réellement ? Et si oui, comment ? Je vais aller vous lire pour y réfléchir un peu plus.