«La tragédie des chrétiens d’Orient est finalement d’avoir à choisir entre le glaive de l’islam radical ou la douce oppression, lente mais inéluctable, de régimes despotiques. Une chose est cependant certaine: l’encensement actuel de ces régimes comme protecteurs des chrétiens d’Orient est un leurre», écrit Jean-Mathias Sargologos dans le plus récent numéro de la revue Le Verbe.