«Dans plusieurs milieux de travail, une femme en âge de procréer est vue comme une bombe à retardement. Des patrons préfèreront donc embaucher un homme, sans se soucier de son statut familial, actuel ou futur.
Le grand coupable dans cette histoire, selon Marilyse Hamelin, est le congé parental de 32 semaines techniquement partageable, mais rarement partagé.
L’auteure argumente que, si le congé était mieux partagé, de telles discriminations à l’embauche n’auraient plus de raison d’être, puisque les hommes comme les femmes s’absenteraient de leur travail pour une durée de temps similaire à la suite de la naissance ou de l’adoption d’un enfant.»
Dans la revue Le Verbe, Ariane Malchelosse critique le livre Maternité, la face cachée du sexisme de Marilyse Hamelin.