«Les étudiants de l’UQAM pourront désormais choisir le prénom par lequel leurs professeurs devront s’adresser à eux. La même semaine que cette annonce, on apprenait que Céline Dion s’associait à une ligne de vêtements non binaires dans une campagne de publicité un peu glauque. Nul besoin d’être le cornichon le plus sucré du pot de relish pour comprendre que les temps changent», écrit Antoine Malenfant, rédacteur en chef du magazine Le Verbe.

«Que faire? Déchirer notre chemise et réclamer un retour au bon vieux temps, cette époque rose (et bleue) où tout était clair pour (presque) tout le monde? Applaudir pour saluer autant d’avant-gardisme, d’ouverture d’esprit et de souci d’une énième classe d’opprimés? Ni l’une ni l’autre de ces options ne nous excite le poil des jambes.»