Le policier Jérôme Bibeau mène «une vie professionnelle digne des meilleures téléséries policières», raconte Antoine Malenfant dans le plus récent numéro du magazine Le Verbe.
«Or, avec toute cette adrénaline venait aussi un rythme de travail effréné. Pagette, appels la fin de semaine, quarts de travail de garde. Les heures supplémentaires s’accumuleront par centaines chaque année.»
«Atteint du syndrome de stress post-traumatique par surexposition», le policier d’expérience raconte au rédacteur en chef de la revue «ce qui l’a entrainé jusqu’au fond, et le chemin parcouru depuis son diagnostic.»