«Ceux qui possèdent une maison rêvent d’un appartement où c’est le proprio qui répare le drain de la toilette à leur place. Les locataires rêvent d’une maison, d’un coin de pays à eux, d’un toit sous lequel ils pourraient s’installer, une bonne fois pour toutes. Ceux qui s’épanouissent dans leur travail aimeraient être plus heureux au lit ou gagner plus souvent au Monopoly.»
Dans Le Verbe, le rédacteur Antoine Malenfant reconnaît que «tout cela est si éphémère, évanescent».
«Vanité des vanités, dirait peut-être le monsieur qui vend des meubles-lavabo chez IKEA. Ou granité des granités, dirait l’épicurien en moi.»