Autrefois patron de Novalis – et donc lié aux revues Prions en Église et Vie liturgique, membres de l’AMéCO -, l’éditeur Jean-François Bouchard signe une percutante lettre ouverte sur le récent rapport du procureur de l’État de Pennsylvanie.
«Je suis un homme plutôt nuancé dans ses propos et rarement bruyant dans l’expression de ses opinions. J’estime qu’il faut garder sa capacité d’indignation pour les rares choses qui en valent le coût. Ces dernières semaines, comme tant d’autres catholiques, j’ai mal encaissé le dernier acte d’une sinistre suite de dénonciations sérieuses et fondées d’abus de nature sexuelle commis par des membres du clergé en grand nombre», a-t-il écrit dans sa lettre intitulée Une institution en faillite publiée par l’agence de presse Présence.
En 2014, Jean-François Bouchard avait prononcé une conférence lors des Journées d’études François de Sales, tenues à Annecy, en France. Le thème de sa conférence: Les médias catholiques auront-ils toujours une audience et à quelles conditions?