«Ici, c’est la paix et la sérénité qui domineront, avait écrit père Elphège-Marie Brassard, c.s.c., dans les Annales de Saint-Joseph, en février 1943, présentant le projet du Jardin du chemin de la croix à ses lecteurs et lectrices», rappelle Nathalie Dumas dans le plus récent numéro de L’Oratoire.

«Pari réussi pour l’architecte paysagiste Frederick Gage Todd auquel les Religieux de Sainte-Croix avaient confié le soin de dessiner les plans de ce jardin. Sur le terrain de 175 000 pieds carrés à l’est de la basilique encore inachevée, des sentiers avaient déjà été tracés en 1936 et 1937 et des croix de bois rustiques érigées de façon provisoire afin d’y prier le chemin de croix dans la montagne comme l’avait tant désiré le frère André», écrit la rédactrice.