«La rigueur journalistique n’empêche pas d’avoir des émotions. Pendant une campagne électorale, on entend souvent des choses frustrantes. Je dois les rapporter et donner suffisamment d’information pour que les gens fassent leur propre jugement. Aujourd’hui dans les médias, les opinions ont souvent plus de poids que les réalités. J’essaie d’éviter les perceptions.»
Claudette Lambert a recueilli les confidences du journaliste Pierre Bruneau au lendemain de la réception du Prix Roland-Leclerc décerné par Auvidec Média. Elles les publie dans le dernier numéro de Notre-Dame du Cap.