«Un mariage œcuménique pose déjà plusieurs questions, surtout en ce qui concerne la reconnaissance des autres sacrements, le baptême, la communion et l’ordination, mais quand les croyances de deux personnes sont différentes, le schème ne peut plus s’appliquer parce que la connexion entre la personne et l’Absolu n’est pas la même et que les deux communautés impliquées sont différentes», écrit Denitsa Tsvetkova, dans le plus récent numéro d’Oecuménisme, consacré aux mariages interreligieux.
«Dans plusieurs cas, de tels mariages sont tout simplement interdits et une conversion s’impose», ajoute-t-elle. «Ce sujet devient donc beaucoup plus compliqué que ce que nous présentent les comédies My Big Greek Wedding ou Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu?»