«La charte crée deux catégories de personnes: celles dont les pratiques religieuses n’impliquent pas le port de signes ostentatoires (songeons aux diverses confessions chrétiennes) dont la liberté ne sera pas atteinte et les autres qui devront choisir entre un emploi et leurs convictions intimes», écrit Patrice Perreault dans le plus récent numéro d’Option ouvrière, publication du Mouvement des travailleuses et travailleurs chrétiens du Québec. L’auteur propose des éléments de réflexion sur la Charte des valeurs québécoises. Option ouvrière n’est pas membre de l’ACPC.