Dans le plus récent numéro de Parabole, Thérèse Miron questionne le dominicain Benoît Lacroix sur la fête de Noël. Il estime que nombre de Québécois «contestent ce qu’ils ne connaissent pas. Ils méprisent leur passé qu’ils discernent mal. Par ailleurs, dit-il, les peuples qui sont jeunes peuvent se permettre des déviations. Cela ne les empêche pas d’être bons. Ce qui me frappe, ajoute-t-il, c’est qu’à travers le monde, on veut célébrer Noël en tant que fête de la paix, de l’unité et de l’harmonie. Ce qui signifie qu’il y a beaucoup de bienfaits laïques qui sont hérités du Noël religieux.»