«Il a fallu la démission de Benoît XVI et la tenue d’un conclave pour élire son successeur, le pape François, pour que l’Église fasse la une de tous les médias de la planète pendant tout un mois. On n’avait pas vu cela depuis le décès de Jean-Paul II. L’institution ecclésiale intéresse toujours, même dans une société fière de sa sécularité, qui lui adresse non moins fièrement ses critiques», écrit Yves Guillemette, rédacteur en chef, dans le tout dernier numéro de Parabole. «Une fois que la poussière sera retombée et que la nouvelle aura vieilli, espérons que le pape François saura, par le témoignage de sa simplicité, attirer l’attention sur l’Évangile qui est le cœur et la raison d’être de l’Église voulue par Jésus. C’est en effet l’Évangile que nous devons retrouver comme Église peuple de Dieu, pour en vivre et en témoigner.»
Ce numéro donne aussi le bilan de la campagne annuelle de la Société catholique de la Bible (SOCABI). «Nous tenons à remercier les 269 donateurs qui ont généreusement répondu à notre campagne de financement 2012. Nous avons dépassé l’objectif de 25 000$ que nous nous étions fixé, pour atteindre 41 000$. Leur contribution a rendu possible la relance de la revue Parabole. Depuis la parution du premier numéro, nous avons déjà atteint plus de 700 abonnés à la revue. En particulier, nous désirons remercier chaleureusement les 73 nouveaux partenaires de Parabole, tant institutionnels (don de 1000$ et plus) qu’individuels (don de 200$ et plus).»