«Dans notre histoire récente, la pandémie est devenue un marqueur du temps. Il y a eu un avant et un après. Entre les deux, le temps s’est arrêté. Plusieurs pans de notre vie ont été mis sur pause», rappelle Mario Mailloux dans Passages, le bulletin de l’Office de catéchèse du Québec.
«Autour de nous, des contemporains sont en manque de temps. Que ce soit dans leur vie personnelle ou professionnelle, il leur arrive de se demander comment arriver à entrer dans le temps. Les ressources humaines diminuant, il n’est pas surprenant que du personnel pastoral, mandaté ou bénévole, éprouve tantôt un malaise, tantôt une panique ou même une dépression professionnelle, tant les tâches et les attentes sont élevées et énergivores. Parfois, la cour est pleine!»