«Il y a donc d’abord la perception intime de l’âge, du vieillissement, ces mutations parfois petites, parfois brutales qui me font dire : je change, je vieillis. Un inconfort de la vessie, ou du genou, un essoufflement trop rapide, des oublis, des pertes d’attention, un mot qui n’arrive pas, une angoisse pour un rendez-vous banal. Le corps change, l’âme change. Et chacun navigue avec soi-même en se disant que, malgré tout, on se tire assez bien d’affaire.»
Passages, une publication de l’Office de catéchèse du Québec, présente le plus récent livre d’André Beauchamp, Vivre son âge.