«Lorsque la mort survient, on voudrait souvent pouvoir l’oublier aussi vite qu’elle est apparue, pour ne plus en ressentir les effets», écrit Marie-Édith Roy dans le numéro d’été de Pastorale-Québec.
«Lorsque qu’elle frappe de plein fouet comme la tuerie dans une mosquée de Québec, on ne peut pas détourner les yeux, puisqu’elle ébranle des familles endeuillées, des proches et une communauté tout entière. Derrière chacun de ces drames se cachent également des enfants qui pleurent et qui ont envie de comprendre pourquoi papa ou maman ne reviendra pas», poursuit-elle.