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lundi, 6 avril 2020

Pastorale-Québec: mégaparoisse

«Fusions, regroupements, paroisses très vastes, ensembles pastoraux toujours plus étendus… Ces années-ci, on dirait que dans notre paysage pastoral, il faut constamment s’adapter et faire plus avec moins. Il est clair que nous n’avons guère le choix», écrit René Tessier dans le numéro de mars de Pastorale-Québec.

Son article traite de «l’expérience globalement heureuse d’une mégaparoisse», celle de Saint-Ambroise de la Jeune Lorette. Il raconte les changements et les initiatives nés de la fusion de «sept clochers».

«Un Comité central de liturgie, composé de 14 personnes, voit à une même feuille de route d’un clocher à l’autre. On a unifié des événements annuels comme la Fête des bénévoles et la Fête de la fidélité, dans les communautés qui en avaient développé l’expertise. Un seul Feuillet paroissial dessert l’ensemble, avec un minimum de particularités

Commentaires

  • Onil Perrier 6 avril 2020

    Pourquoi pas créer un mini-diocèse, tant qu’à y être ? Avec un épiscope et des presbytres bien plus nombreux,
    hommes et femmes, mariés ou non, vivant chacun de leur métier et animant chacun une petite communauté
    de base, où les croyants se connaissent, s’aiment et se prennent en charge…Au lieu de rebrasser des structures…
    encore et encore…
    En 2020, le coronavirus nous pousse à ‘couronner’ ainsi l’évolution ecclésiale commencée depuis le Concile…
    Il est temps, comme le souhaite le pape François, de commencer à nous défaire du clergé (mais non des pasteurs)
    Le clergé est un reliquat de la « chrétienté. »

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