«Oui, quelqu’un quelque part t’aime. Quelqu’un quelque part a besoin de toi. Quelqu’un quelque part vit dans la tristesse parce qu’il ne se sent pas aimé, parce qu’il est seul et peut-être même abandonné», écrit l’abbé Gilles Baril dans Pèlerins en marche, la publication du Mouvement des cursillos francophones du Canada.
«Je pense ici à une dame qui un jour m’a donné son numéro de téléphone et m’a demandé de l’appeler dans une heure. Quand elle m’a répondu, elle m’a dit: Je voulais seulement vérifier si mon téléphone fonctionnait encore parce que ça fait six mois qu’il n’a pas sonné.»