«Du papier, des ciseaux et un peu de tendresse ont suffi à un homme à marquer des générations de Québécois et à les intéresser au message évangélique au moment même où ils étaient de plus en plus nombreux à délaisser les églises. Comment ne pas y voir se répercuter jusqu’à nous une splendide leçon d’humilité?»
Des mots de Sabrina Di Matteo, tout juste publiés par l’agence de presse Présence.
«Claude Lafortune nous rappelle avec douceur que nous pouvons sculpter un nouveau monde de tendresse, où le pardon recolle les morceaux, le partage dessine la solidarité, la bienveillance bricole la beauté. Merci, Claude. À nos ciseaux!»
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Pierre Bélanger, SJ 24 avril 2020
J’ai côtoyé Claude Lafortune alors que je collaborais aux émissions religieuses de Radio-Canada, au tout début de mes engagements professionnels en communication audiovisuelle. Je puis dire qu’il a été pour moi et pour tant d’autres un témoin de l’Évangile vécu dans la simplicité, dans l’humanité, dans ses relations avec tous. Il vivait de spiritualité, ce qui lui a permis d’être un artiste fécond.