«La beauté authentique se trouve dans l’âme humaine», précise François Cheng. L’écrivain est cité dans le numéro d’octobre de Prions en Église. «On lui donne le nom de « bonté ». Elle « transparaît dans le regard et se traduit par un ensemble de gestes » qui touchent au-delà des mots au point que « seules les larmes muettes parviennent parfois à dire l’émotion qu’elle suscite »».