«Un changement important est survenu récemment dans la vie de l’Église catholique, de façon plutôt discrète», écrit Jean Grou dans le Prions en Église de février.
«Il s’agit de l’entrée en vigueur de la nouvelle traduction du Missel romain, résultat du travail colossal d’un groupe de traducteurs, de linguistes et de spécialistes de la liturgie qui s’est étendu sur dix-sept années.»
Il explique que «le Missel tel que nous le connaissons date de 1970».
«C’est un fruit concret de la réforme liturgique décrétée par le concile Vatican II. Il a été réédité en 1975, puis en 2002. C’est cette dernière version dont nous venons d’accueillir une nouvelle traduction.»