«Attention en traversant la rue, c’est le mois des morts! Pour l’enfant que j’étais, cet avertissement, lancé par ma grand-mère, avait le pouvoir de prolonger l’Halloween de quelques semaines», raconte Jonathan Guilbault dans son éditorial du plus récent numéro de Prions en Église.
«Comme si après la fête des sorcières, les défunts avaient l’autorisation de rester dans le monde pour ramener avec eux, sous terre, les distraits et les imprudents», ajoute-t-il.