La revue Relations s’intéresse à «cette jeunesse qu’on exclut et au miroir qu’elle nous tend» dans son plus récent numéro. La société voit la jeunesse «au mieux comme un problème à gérer, au pire comme une menace à l’ordre social», explique Emiliano Arpin-Simonetti.
«L’hystérie anti-woke qui s’est emparée du Québec (et d’autres pays occidentaux) témoigne bien de la crainte qu’inspire une partie de la jeunesse actuelle et les valeurs qui lui sont associées — bien que ces dernières, de l’écologie à l’antiracisme en passant par la fluidité du genre, ne lui soient en rien exclusives», ajoute-t-il.