«Dans le contexte actuel de crises écologique, sociétale et sanitaire planétaires, la spiritualité apparaît comme un soutien précieux et essentiel à un grand nombre de personnes engagées socialement, croyantes ou non. Pour elles, la vie intérieure, le ressourcement, la quête de sens ou l’attention à une transcendance – tout ce à quoi renvoie d’une certaine manière la spiritualité – sont fondamentaux», estiment les rédacteurs et rédactrices du plus récent numéro de Relations.
«Mais au-delà des pratiques individuelles, la spiritualité peut-elle être un moteur d’action collective pour la justice sociale et la dignité humaine? Une voie pour réenchanter et humaniser un monde aux abois?», demande-t-on.