«Philosophe, esprit critique, apatride religieux, Frédéric Lenoir est un électron libre. Il n’est pas homme à s’enchaîner à une institution. Les athées l’attaquent, les traditionalistes s’en méfient», écrit Simon Paré dans le plus récent numéro de Rencontre. Il raconte que l’ex-directeur du Monde des religions a découvert les Évangiles lors d’un séjour dans une abbaye. «Le philosophe agnostique est sidéré. Il est conquis par la personne de Jésus. Un homme qui accueille les pécheurs. Qui ne juge pas. Il est subjugué par son approche des personnes. Jésus est plus qu’un sage : il est le lien avec le divin. Frédéric Lenoir a fait une rencontre. Il a rencontré le maitre qui va l’accompagner durant toute sa vie. Frédéric Lenoir, qui n’est pas sûr de croire en Dieu, devient, dès ce moment, un disciple de Jésus.»