«Nous entendons souvent l’expression la vie va vraiment trop vite, spécialement à la fin d’une année ou au rappel d’un événement. Comme la roue, la vie tourne vite. Nous nous en rendons compte en vieillissant; nous pensons plus souvent à notre fin. Les enfants ne se préoccupent pas de la durée ou même de la vie. Pour eux le futur est encore bien loin.»
«Cependant, nous savons que trop ou très loin est vraiment relatif», reconnaît le père Robert Deshaies dans le premier numéro de l’année de la Revue missionnaire Mariannhill.