«Au Québec, il en va peut-être de la politique actuelle comme des viaducs: on aimerait bâtir, éprouver les transports des grands projets. Mais nous voilà contraints de réparer, voire de raser des œuvres audacieuses. Et nos gouvernements se trouvent coincés entre les désirs de bâtisseurs et les exigences de concierges», écrit le journaliste Antoine Robitaille en introduction au dossier qu’il signe dans le tout dernier numéro de la RND.