«En 1989, lorsque j’ai fait la connaissance de Ming Ma, j’étais loin de savoir qu’il serait pendant sept ans mon professeur et deviendrait mon ami. Sa franchise et sa jovialité me surprenaient toujours. Il m’a enseigné tous les rudiments de l’aquarelle, des encres à main levée et des techniques mixtes»,écrit l’artiste Hélène Taliana dans le plus récent numéro de Signes.
«Grâce à lui, j’ai appris à maîtriser les fluides [matières liquides], à faire respirer la lumière, à développer, dans une atmosphère de silence, tous les secrets d’une bonne composition. C’était tout un défi. J’ai découvert ma liberté d’expression.»