Voici l’accroche d’un article – sur deux récents livres publiés par la maison Novalis – rédigé le 12 février par Philippe Vaillancourt, rédacteur en chef de l’agence de presse Présence.
On ne compte plus les diverses déclinaisons de la Bible modelées en fonction de médiums aussi variés qu’originaux. Au cours du dernier siècle, l’évolution des moyens de communication a ouvert de nouveaux horizons à ces récits fondamentaux du christianisme. Dans ce foisonnement parfois engourdissant, La Bible en 1001 briques réussit encore à étonner par son audace et son originalité.
Et voici l’accroche d’un texte que publie le portail catholique suisse Cath.ch le 14 février.
On ne compte plus les déclinaisons de la Bible modelées en fonction de médiums aussi variés qu’originaux. Dans ce foisonnement, La Bible en 1001 briques LEGO, parue en français à fin 2017, réussit à étonner par son audace et son originalité.
Philippe Vaillancourt, un membre de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec, est formel: depuis la publication de son texte, un seul média, un client régulier de l’agence de presse, l’a acheté… et il n’est pas européen.
Il est intéressant – et troublant – de comparer, dans leur intégralité, les deux textes pourtant signés par deux auteurs différents.
Commentaires fermées.
Anonyme 16 février 2018
Même s'il est difficile de le prouver avec certitude, même si notre collègue suisse est reconnu comme très professionnel, cela sent en effet le plagiat à plein nez. Ce matin, dans un comité restreint de l'AMÉCO, nous évoquions le phénomène pour constater que, malheureusement et étonnamment, plusieurs cas nous confirment qu'il y aurait beaucoup de progrès à faire sur ce plan. C'est pourtant une question d'éthique…
René Tessier, Pastorale-Québec
Mario B 15 février 2018
Malheureusement, cela sent le copier-coller. Aucune preuve formelle bien sûr, mais… ça sent. Plus que dommage : choquant. Si l'on se dit journaliste, il faut faire preuve de plus de rigueur. Un journaliste devrait toujours penser en auteur original. Et surtout, ne pas laisser la paresse s'emparer de son crayon ou de son clavier. Et puis, citer les autres au besoin n'est pas un signe de faiblesse, mais bien un signe d'intelligence et d'intégrité sur une nouvelle que l'on a aimé. Faire semblant que l'on est l'auteur quand – visiblement – on ne l'est pas est tout simplement absurde. Mario Bard, président de l'Association des Médias catholiques et oecuméniques (AMéCO).