La revue Vers Demain a inséré dans son numéro de janvier-février une brochure spéciale sur le dividende social.
«Lorsqu’on parle de quelqu’un qui reçoit des dividendes, on pense généralement à celui qui possède des actions dans une compagnie, et qui reçoit ainsi une part des profits. Eh bien, on peut dire en toute vérité que chaque citoyen du pays, chaque membre de la société est cohéritier, co-capitaliste, propriétaire d’un capital réel et immensément productif: les richesses naturelles et les inventions des générations précédentes», écrit-on.
«Tous les vivants sont, à titre égal, cohéritiers de cet immense capital qui s’accroît toujours, tous ont droit à une part des fruits de la production. L’employé a droit à ce dividende et à son salaire. Le non-employé n’a pas de salaire, mais a droit à ce dividende, que nous appelons social, parce qu’il est le revenu d’un capital social.»
Commentaires fermées.
Mario Bard 3 février 2019
L’esprit du partage et le fait d’assurer à tous – petits, faibles, riches, pauvres, étrangers, etc. – un capital social me semble être en ligne droite de l’esprit de partage que Jésus nous invite si souvent à prendre. Merci à la revue Vers Demain de nous le rappeler. Un travail que font les membres de l’AMéCO plus que jamais!