«Comme toutes les sociétés humaines, la communauté chrétienne est susceptible de connaître des tensions et des mésententes. Il arrive parfois qu’une compétition s’installe parmi ses membres. Chacun, chacune, veut garder son domaine d’action, son expertise, et tolère mal qu’une autre personne vienne s’en mêler. Des querelles, des disputes, du commérage, il y en a partout et de toutes sortes», reconnaît Jacques Kabangu, dans le plus récent numéro de Vie liturgique.
Pour l’auteur, «la pratique de la transparence, jouer cartes sur table, est une attitude qui peut bien nous servir à cet égard». Il note aussi que «L’expérience des premières communautés chrétiennes est, susceptible de nous aider à raffermir les liens de fraternité que nous, les baptisés, sommes appelés à tisser entre nous, et à aller au-delà des disputes et des incompréhensions».