«Dans un monde axé sur le profit, nous sommes portés à adopter des comportements d’actionnaires jusque dans les rapports humains: telle relation me rapportera quoi? Si mes liens avec quelqu’un ne me procurent ni plaisir ni profit, pourquoi y investir temps et effort? Nous avons tout à perdre à agir ainsi, car c’est nous empêcher d’accéder à ce qu’il y a de plus beau dans les rapports humains: la gratuité. Se savoir accueilli et accueillir gratuitement, c’est non seulement ressembler à Dieu mais c’est aussi accéder à sa joie», écrit Georges Madore dans le no 439 de Vie liturgique (du 1er septembre au 27 octobre 2019).